L'évolution récente des migrations en France et en Italie c’est un fait qui est toujours d’actualité, peu importe l’année où l’on est. 

Ce sujet est d'une grande ampleur et richesse en ce qui concerne les informations qu’on peut y retrouver, pour chaque période de l’année. Dans ce site il y aura une analyse sur la période qui va des années 2000 jusqu’à présent. 

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Avant de traiter cette question, il est important de définir tous les termes du sujet. En commençant par le terme “évolution" qui désigne une succession des phases par lesquelles passe un processus pathologique. On va donc analyser ce changement progressif au fil du temps et, vu que dans le sujet il est précisé que le temps doit être récent, on va tenir compte que des années 2000 jusqu’à aujourd’hui.

Ensuite, pour ce qui concerne le terme “migration”, comme le défini le célèbre dictionnaire de Larousse, il s’agit d’un déplacement volontaire d'individus ou de populations d'un pays dans un autre ou d'une région dans une autre, pour des raisons économiques, politiques ou culturelles. 

Ce phénomène se manifeste de différentes façons, tout dépend des circonstances où cela a lieu. 

Tout est relatif, en effet la durée d’établissement du migrant dans le pays d’accueil, le lieu de départ et de destination du migrant, les causes du départ et le statut du migrant sont des caractéristiques qui permettent de catégoriser les types de migration qui peuvent être : définitifs ou temporaires, volontaires ou forcés, internes ou externes au pays où cela se réalise. Ce dernier peut être aussi de masse ou individuel, légal ou clandestin. 

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Dans ce site on analysera le phénomène de la migration dans le cas de l’Italie et de la France en faisant une analyse comparée sur ce processus qui est en constant changement. Pour ce qui concerne les taux précis des migrants présents dans un pays, il faut analyser le montant des permis de séjour qui représente une précieuse source d’information, non seulement pour comprendre l’évolution des flux dans le temps, mais aussi pour expliquer comment est né le projet migratoire. 

Le ministère de l’Intérieur collecte les permis fournis par la préfecture de police, mais les permis de séjour fournissent une quantification incomplète de la population étrangère régulière parce que, dans la plupart des cas, les mineurs étrangers n’ont pas de permis individuel car ils sont à la charge des parents. 

En plus, une autre difficulté réside dans le fait que les migrations clandestines, étant donné qu'elles sont irrégulières, ne sont pas prises en compte dans ce type de relevé. 

En réalité, l’estimation la plus juste est celle qui se rapproche le plus des demandes présentées à l’occasion des régularisations.

Une autre enquête disponible est celle de la population civile qui indique les résidents étrangers, c’est-à-dire la composante stable de l’immigration, qui tient compte également des mineurs. Il s’agit d’une composante régulière du phénomène migratoire, elle se réfère à la partie la plus stable de la présence étrangère. Cependant, il faut garder à l’esprit que si l’inscription à l’état civil a lieu dans la dernière période de l’année, l’étranger peut ne pas être compté parmi les résidents de cette année, alors qu’il l’est dans le compte des permis de séjour.

 

Dans la collecte de données sur la migration, en Italie, par exemple, plus on remonte dans le temps, plus les données et les informations font défaut, elles ne sont pas tout à fait fiables. Depuis les années 90 l'Institut national de la statistique, ou ISTAT, est en mesure de fournir des informations qui donnent un cadre de référence articulé car, avec le temps, les sources quantitatives et qualitatives ont augmenté. En effet, grâce à ces informations, on est en mesure d’affirmer qu'aujourd’hui un équilibre entre les genres hommes et femmes a été atteint et ça on a pu le remarquer surtout dans le cas de la communauté chinoise, roumaine et albanaise. Un autre élément important concerne le domaine qu’elles occupent : celles-ci travaillent dans les services familiaux, dans  la restauration ou dans le tourisme alors que les hommes trouvent un emploi surtout dans la construction.

Les immigrés, comme on va l’analyser plus tard, sont localisés surtout dans le Nord de l’Italie pour une question d'opportunités d’offres d’emploi, en Lombardie par exemple on retrouve les plus enracinés sur le territoire mais depuis les années 2000 les migrations augmentent de plus en plus, voici un graphique qui le témoigne en bas à gauche.

La France est aussi l’un des premiers pays de destination des habitants de l'Afrique et sa population est de plus en plus originaire d’une immigration récente, surtout à partir du 2015, comme on peut le constater à travers le graphique ci-dessous et les immigrés sont surtout d’origine africaine, en première place il y a la communauté algérienne, suivie par la marocaine et ensuite la tunisienne, mais les différentes caractéristiques migratoire seront un important point de cette rédaction.

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